mardi 15 avril 2008

Parc Naturel Régional de la Haute-Vallée de Chevreuse

Ah les parisiens! C'est comme ça de temps en temps, il nous prend l'envie irrésistible de prendre un bon bol d'air et de nature, DU VERT!!! C'est bien compréhensible non, pendant la semaine on ne voit le jour que pendant très peu de temps. Moi par exemple : 2 minutes de mon immeuble au métro, puis 10 minutes du métro au boulot, un petit quart d'heure à midi le temps d'attendre mon sandwich en face du boulot et puis même chose le soir. Si j'arrondis, ça fait grand maxi 1 heure dehors pour tenter de voir le soleil. Enfin, ne parlons même pas de nature... J'ai l'immense chance que certaines pièces au boulot, donnent sur un jardinet. Ah que c'est mignon! Et il ne faut pas oublier les grand arbres qui bordent ma rue, j'habite une belle rue, j'ai de la chance.

Donc, pris d'une frénésie soudaine, nous sommes partis dimanche dernier dans la Vallée de Chevreuse. Un nom qui déjà, nous fait penser à de douces prairies vallonnées, sillonnées d'une petite rivière dans le creux.

C'était merveilleux!

Si vous aviez vu...

...
Vous n'auriez surement pas trouvé ça si original. Un très joli coin de nature, mais comme on en trouve en Bretagne par exemple, ou dans toute la moitié haute de la France. (C'est quand même moins vert dans le sud...) Très mignon certes.

Hé bien nous étions euphoriques "Oh comme c'est beau!". Que du vert tout partout, tellement éblouis que je ne savais plus nommer les plantes "Oh tiens regardez, c'est heu...
de l'herbe!". Par contre Céline, elle, courrai de tous cotés "Des Jonquilles, des Ceci des Cela!". Un trop plein d'oxygène presque pur en banlieue de Paris!

Mais l'euphorie est soudainement retombée lorsque l'averse nous est tombée dessus. C'était un peu comme dans les pubs de shampoing Ushuaia (un reste d'euphorie), en plus habillé tout de même. Alors on s'est dépêchés de retourner jusqu'à la voiture, risquant notre vie pour ne pas glisser dans la rivière et finir noyés dans 20 centimètres d'eau déchainée. Complètement trempés, nous sommes rentré vite fait à Paris. Enfin "vite fait"... dans les bouchons bien sûr!
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jeudi 10 avril 2008

Back to black


Article musical! Aujourd'hui je vous fait de la pub pour Amy Winehouse et son album Back to Black. Vous la connaissez peut-être déjà sous divers angles... Tout ce qui m'intéressa à son sujet c'est d'écouter sa musique, alors ne me parlez pas du reste pendant que j'écoute, silence...


We only said good-bye with words
I died a hundred times
You go back to her
And I go back to...


La voix et la musique forment un bel ensemble Soul/Jazz, c'est tout bien pour se reposer le soir. J'ai la tête qui penche de droite à gauche, signe significatif de contentement.

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dimanche 6 avril 2008

Marathon de Paris

Fatiguant ce marathon, je suis tellement crevée, là assise sur le canapé, que j'ai l'impression d'être droguée... Et pourtant je ne l'ai pas couru moi! Ce matin mon cousin Oliv et toute une bande de Louvignéens étaient au départ du marathon de Paris. Il y avait environ 28000 participants. Nous les avons suivis sur le bord de la route toute la matinée, quel courage (je parle d'eux la) il faisait froid gla gla gla, mais c'est mieux pour courir, dit-on. Nous avons commencé notre parcours au kilomètre 7 à neuf heures, appareil photo en main et prêt à dégainer dès le premier marcel noir et orange : le maillot des coureurs louvignéens. Mais ce fut une tache plus difficile que prévue… Quand tout un troupeau groupé arrive en courant, il est assez difficile de distinguer qui est qui, le premier réflexe étant plutôt de reculer sagement vers le trottoir… Et en fin de compte, nous avons tout de même eut la chance de voir Olivier et Florent (autre collègue éminent de Louvigné), et plus tard Mitch !

Ce que je ne vous ai pas (encore) dit, c’est qu’au kilomètre 7, nous avons aussi récupéré tonton Michel, jeune retraité, qui décide de se faire un petit marathon tranquillou avec une tendinite au genou… Les défis sportifs, c’est de famille! Du coup, on s’est retrouvés tous les trois : Michel, Jean-Michel (encore un super cousin) et moi pour ce parcours marathonien, dans un Paris blindé de provinciaux perdus dans le métro, découvrant la proximité conviviale des transports très « en commun » pour un dimanche matin. Hé hé hé, je me moque un tout petit peu, c’est ce qu’ils font aux parisiens qui viennent à la campagne.

Et si on passait aux résultats ! C’est très modestement que Olivier a franchit la ligne d’arrivée au bout de 3h30, avec quelques regrets quand à la gestion de sa course : une mauvaise gestion qui lui a fait perdre dans les 10 minutes, rendez-vous compte !!!

Voilà pourquoi je parle de modestie, il y a des sportifs comme lui, qui ne comprennent pas l’admiration béate et inconditionnelle que peuvent avoir les autres pour l’exploit qu’est de faire un « petit marathon ».

Clap clap clap, moi je t’applaudis Oliv, bravo !

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